Publié le 9 février 2024–Mis à jour le 18 mars 2024
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Deuxième séance du séminaire "Art digital"
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Deuxième séance du séminaire "Art digital", coordonné par Christine Vial Kayser (chercheure associée à Héritages) et organisé par l'école doctorale n°628 Arts, Humanités, Sciences Sociales, le mardi 20 février 2024, de 14h30 à 16h30, à Charenton-le-Pont et en visioconférence
Deuxième séance du séminaire
"Art digital"
Thème 1 : Art digital et patrimoine
le mardi 20 février
de 14h30 à 16h30
Médiathèque du patrimoine et de la photographie - salle Mieusement (2e étage)
11 rue du Séminaire de Conflans, 94220 Charenton-le-Pont - Métro Liberté (ligne 8)
Raphaël Marchou, responsable du développement de la société Histovery
"Présentation de la start-up French Tech & French Touch, Histovery"
L’innovation de la Visite Augmentée est mise au service de la valorisation du patrimoine et de l’Histoire. Nous utilisons le meilleur des technologies 3D et immersives pour révolutionner l’expérience du visiteur à travers des reconstitutions historiques interactives spectaculaires, dans le respect rigoureux des connaissances historiques. Nous sommes présents dans 18 sites culturels en France et en Allemagne et à travers des Expositions Augmentées qui voyagent à travers le monde. (en présentiel)
Roxane Boutheon, coordinatrice du Lab Google Art and Culture
"Présentation du Lab, ses missions, sa présence entre industrie culturelle, savoir-faire technique et artistes" (sur Zoom)
***
Le séminaire vise à cerner l’impact de la "révolution digitale" en cours d’émergence sur la production artistique (visuelle, plastique, littéraire), l’expérience esthétique et le patrimoine, ainsi que sur les "manières d’être au monde" individuelles et collectives (conscience de soi, affects, écologie sociale et naturelle) sans oublier les questions éthiques et sociétales (maintien ou érosion du lien social, surveillance et protection des données personnelles, droits de la propriété intellectuelle).
On considérera la variété des productions patrimoniales et artistiques, leurs véhicules institutionnels (universités, Écoles d’art, sociétés privées à but commercial ou non), la perception par les artistes et les visiteurs de la présence à la fois objective et immatérielle des conditions de l’expérience.
L’approche sera empirique, pluridisciplinaire, mêlera artistes, designers, monde marchand artistique et technologique, professionnels de la culture et philosophes.